L’un des objectifs fondateurs qui distingue notre Fondation des autres qui s’occupent d’éducation financière en Italie, clarifie exactement le caractère unique du modèle qui caractérise la Global Thinking Foundation depuis sa naissance, dans le développement de projets ciblés et cohérents : « Prévenir et combattre le situations résultant de l’isolement économique des femmes victimes de violence économique, en mettant en œuvre des actions de formation et de diffusion pour soutenir les principes d’égalité des sexes et de réduction des dommages sociaux découlant de ce phénomène, qui expose également les nouvelles générations à un manque de participation active à la vie économique. développement du pays ».
Notre Manuel de Prévention de la Violence Économique rassemble les résultats de notre projet « Donne al quadrato« . Des années d’expérience sur le sujet sont recueillies dans notre « Manuel de Prévention de la Violence Économique » constamment mis à jour, qui analyse l’impact social des cours et des permanences tenus à l’échelle nationale.
Un hommage particulier est rendu à l’extraordinaire Task Force de « Donne al quadrato » : formatrices, éducatrices financières et professionnelles qui se partagent entre les cours et l’assistance aux permanences.
Organisée par Marie-Pierre Rixain, en lien avec Global Thinking Foundation, cette édition a mis en lumière la question cruciale de la violence économique, lors d’un événement marquant qui s’est tenu à Paris, à l’Assemblée Nationale.
Le 26 Mars , dans le cadre des événements organisés par le GEHC WoMen’s Network autour du mois de la Journée Internationale des Droits des Femmes, nous avons eu le plaisir d’inviter l’avocate Aurora Visentin qui nous a parlé de l’Indépendance Economique des Femmes et de la violence économique. Aurora est membre actif de la Global Thinking Foundation ETS qui ouvre pour l’inclusion économique et la prévention de la violence économique et qui a été crée par Claudia Segre en 2016. Cet événement a été très apprécie et il nous a permis d’explorer un aspect de la parité de gendre très important mais souvent négligé : l’indépendance économique.
Déterminants de l’abus économique et ses associations avec les dépistages positifs de la dépression et de l’anxiété.
Se sentir victime d’une violence qui n’a pas de nom. En être victime et ne pas avoir de repères. Glisser inconsciemment dans une prison sans barreaux, d’inaptitude et d’aliénation. C’est la situation dramatique dans laquelle vivent de nombreuses femmes qui ont été dépossédées de leur statut socio-économique.
Le but de Global Thinking Foundation ETS est de favoriser une plus grande conscience et ainsi agir activement sur la prévention des situations
LA TOURNÉE 2024 di Project Libre de … VIVRE: REDÉMARRE !
Nous parlerons de Sport, sécurité et santé pour l’inclusion sociale : prévenir la violence est possible!
Merci a Aurora Visentin e nos bénévoles de Global Thinking France Association: Rosanna Talarico, Monica Lonardi, Concetta Salzano, Elena Rossi Gallo, Daniela Dalla Valle, Alessandra Meacci Pour leur engagement constant GE HealthCare.
La proximité avec d’autres réalités européennes dans lesquelles les gouvernements ont courageusement mis en œuvre les lois existantes, comme nous le décrivons dans l’annexe consacrée à la Grande-Bretagne, ou renforcé les politiques familiales généralisées comme en France, en Espagne et au Portugal, nous remplissent d’espoir et renforcent notre engagement car même dans En Italie, nous pouvons pleinement comprendre le phénomène de la violence économique dans sa gravité économique et sociale. Lorsque nous parlons de violence et de maltraitance relationnelle, nous nous concentrons généralement sur la violence physique et émotionnelle. Mais l’abus financier ou le contrôle de la capacité d’une personne à acquérir, utiliser et conserver de l’argent par un partenaire intime se produit dans jusqu’à 99 % des cas de violence domestique.
(Extrait de la préface de Claudia Segre)
La violence économique est l’une des expressions de maltraitance envers les femmes encore répandue et pourtant sous-estimée aujourd’hui :
Le Manuel de prévention de la violence économique vise à informer les femmes tant sur leurs droits dans la sphère économique que sur les points d’attention pour reconnaître la violence économique et l’éliminer de leur vie, en révélant les comportements, parfois socialement acceptés, préjudiciables à la dignité et à l’autonomie des femmes.
La violence économique abordée dans ce guide est l’une des formes les plus subtiles et les plus odieuses de violence à l’égard des femmes que la Convention d’Istanbul définit comme : « la violation des droits de l’homme et toute forme de discrimination à l’égard des femmes, y compris tous les actes de violence basés sur le genre qui provoquent ou sont susceptible de causer un préjudice ou des souffrances de nature physique, sexuelle, psychologique ou économique, y compris la menace de commettre de tels actes, la contrainte ou la privation arbitraire de liberté, que ce soit dans la vie publique ou privée ».
À cela s’ajoute une nouvelle convention, accompagnée d’une recommandation, pour lutter contre la violence et le harcèlement dans le monde du travail, qui ont été adoptées par la Conférence internationale du Travail (CIT). La Convention sur la violence et le harcèlement, 2019 a été adoptée le 21 juin par les délégués de la Conférence internationale du Travail du centenaire de l’OIT.
La Convention reconnaît que la violence et le harcèlement dans le monde du travail « peuvent constituer une violation ou un abus des droits de l’homme (…), une menace pour l’égalité des chances, sont inacceptables et incompatibles avec un travail décent ». Le nouveau traité international définit « la violence et le harcèlement » comme un ensemble de comportements, de pratiques ou de menaces « qui visent à causer – ou sont susceptibles de causer – un préjudice physique, psychologique, sexuel ou économique ». Il oblige les États membres à œuvrer pour garantir « une tolérance zéro dans le monde du travail ».